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elweenessa

29 novembre 2006

Vous allez rire !!!je suis encore là, et d'assez

16Vous allez rire !!!
je suis encore là, et d'assez bonne humeur.

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4 novembre 2006

Si mon zopliclown, ne m'etais pas compté !

Je sais, je suis cyclothymique mais une fois de plus je ne vais pas bien.

Il n’existe pas de forum où l’on a le droit de parler suicide, c’est dingue !

Pourquoi ? !

Je sais qu’il existe des pays où l’être est entendu. Où la vie à une valeur et

Où notre choix est respecté.

 

Pourquoi n’a-t-on pas le droit de partir, de ne plus continuer ?

 

Mes propos sont vides, mes phrases n’ont pas de consistances, je le sais très bien.

Mais qu’est ce que vous pouvez attendre d’une personne qui ne cherche plus à vivre ?

Qu’attendre d’une personne qui n’attend plus rien ?

 

De belles phrases, poétiques, romantiques, mielleuses sur la vie, sur l’existence, et les raisons

De partir ?

 

Autant de descriptions de la vie et de raison d’avoir mal.

 

Parlé de toutes c es choses que l’on souhaite quitter, tous ces moments que l’on ne veut pas

Imaginer, que l’on n’ose pas imaginer, auxquels on ne veut plus croire tout simplement.

 

Se faire mal !

 

Relater toutes ces chouettes choses, ces beaux moments que l’on observe du coin de nos œillères

Seuls.

 

Ces détails qui gardent en vie, ces détails qui font reculer chaque instant l’acte.

 

Ho, je sais à peu près comment ne pas me louper, Encor que rien n’est vraiment assuré.

Là n’est pas la question.

 

Je l’ai écrit avant, j’essaie de partir depuis longtemps, je travail ma méthode, je réfléchis, je m’organise.

 

Le plus dur, ce n’est pas d’en avoir envie, ce n’est pas d’y penser.

 

Le plus dur, c’est de ne pas y arrive, d’avoir peur, de ne pas savoir si l’on est vraiment sure.

Le plus dur, c’est de ne pas se laisser cette chance désespérée et attendre que le temps nous convainque

Qu’attendre n’est pas la solution.

Le plus dur : c’est d’avoir mal de savoir que l’on souffre trop pour vivre et que cette idée

nous fait trop souffrir  pour réussir a partir.

 

Parsque la question est là !  

 

Pauvres gens qui sont partis sans le vouloir vraiment sur un coup de tête, par tristesse passagère et qui

Ont reussi leur depart involontaires.

 

Mais pauvres vivants, qui ne sentent plus leur pouls battre et gardent les yeux ouverts.

28 octobre 2006

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28 octobre 2006

Nous avions décidé de nous revoir seuls, de faire

Nous avions décidé de nous revoir seuls, de faire une ballade comme au bon vieux temps.
Un petit tour pour la santé, et peut être le souvenir ….
Nous n’avions pas de raisons particulières, sinon de nous voir face à face un moment.
Deux amants qui se retrouvent, une émotion particulière au fond des yeux,
Ne pensant plus qu’à l’autre à chaque moment.
Nous avions pourtant changés durant ces dix années.
Famille, déboires, usure mais pourtant, un rien était resté.
A mi-rêve…et cauchemar,J’avais préparé ma cotte, et un bustier dessous, mon plus joli boxer.
Une ceinture de cuire bien reliée à mes bottes
Je sais qu’alors qu’il avait deja sa femme, mais pas s’il avait déjà ses premiers enfants…
II était arrivé, dans sa tenu habituelle, presque la même d’an temps,
les traits du visage un peu vieillis mais tout aussi charmants.
Un sourire, d’un coin de nos yeux complices de tout ces merveilleux moment,
que le potinage n’a jamais connu Comme à mon habitude, je rentre la première,
j’aime guider car j’aime être maître de la ballade. Je suis celle qui voit en premier,
la guilde, l’éclaireur

Le chemin est caillouteux, un peu humide et chacun de ses pas éclaboussent le tissu de mon pantalon
C’est toujours ainsi, et je ne veux qu’ils devinent, je ne dis rien Chaque clapotis,
chaque goutte d’eau absorbée par le coton me surprend agréablement et
peu à peu les courants d’air diffuse une fraîcheur entre mes jambes,
réveillant très doucement mon imagination.Nous nous dirigeons l’un l’autre au travers des chemins,
tantôt sur les sentiers battus, tantôt sur des chemins classique.
Il n’était pas question d’aller dans les endroits fréquentés, ni trop en retrait, l’un et l’autre rester notre unique dangers.
Etre vus !Nous n’étions absolument pas là dans cet optique et pourtant nous étions tout deux coupables
Simplement coupable de vouloir se revoir le temps d’un moment….juste comme ça…
De chemins paisibles en chemins étroits, d’espaces de repos en espaces prisés, le silence s’installe,
Une gêne adhère l’air qui nous entoure.
On fond que faire, de galeries en galeries, nous les connaissons toutes par cœur.
Trouver un refuge, l’éclairer et  d’y rester.A quelques centimètres, nous ouvrons une bière
A quelques centimètres nous partageons une « clope ».
Il fit mine de glisser de son caillou,  je le rattrapais.
Il est insupportable de ressentir l’énergie d’une personne pour laquelle nous ne voulions plus rien ressentir
Nos regards se croisèrent, nos bras se touchèrent.
S’il va plus loin, il saura alors que j’étais prête,
je n’arrive pas à savoir ce je veux  en penser.
Pourtant nos regards se soutiennent, séparées de son bras, je tremble,
des lèvres jusque au ventre.La solution serait que je m’enfuie,
l’autre de lui sauter dessus. Nous restons la, Il roule, je prends une clope
et vidons nos sacs d’une bière.Je m’allonge sur un banc de pierre, je suis fatiguée, je suis troublée.
Nos regards se soutiennent comblant le silence.Alors il s’approche de moi
et toujours nous perdant sous nos regards, je le laisse faire, je lui prends sa main et m’approche.
Joue contre joue je l’écoute respirer, sourd et chaud son souffle couvre le lob de l ‘oreille
.Je me laisse envahir,  sa respiration de plus en plus sourde et lourde s’approche
de mon oreille et je sens sa bouche effleurer mon coup, descendant imperceptiblement  vers mon col
.Chaque partie de mon corps étourdit, frémit, je pose une main sur l’arrière de sa tête,
l’autre lui caressant le coup.Il ouvre le col de ma combinaison, une fermeture à la fois.
Embrassant chaque parcelle de mon décolleté, jusqu’à découvrir mon corset.
Nos regards se croisent à nouveaux, lui, sourit tendrement,  Je mord mes lèvres mes yeux dans ses yeux.
Et le presse de continuer.Toujours deux par deux les fermetures de la combinaison
descendent petit à petit dévoilant chaque étape de mon corps, la ceinture, le boxer,
les bas encor cachés par les cuissardes.
Ses lèvres, descendent t je me courbe instinctivement, le silence des lieux se mêle a mes souffles,
la pierre me protège, je me sens bien. Je suis en rêve et cauchemar, j’y suis, et je le voulais.
Rester soumise a ses caresses, ou bien me  relever, lui ôter ses vêtement et entraîner la situation ?
Je le laisse m’emmener, me terrer dans mon plaisir et lorsque le rythme m’entraîne,
je lui ôte des pulls, gilets, je touche son tee-shirt , glisse mes mains contre sa peau, Je goûte, ses lèvres, je mange sa peau.
Ce goût, tant désiré, qui se retrouve avec volupté.

Nous y sommes, le silence est rompu,
Nous n’avons qu’un langage, qu’un seul point d’intérêt,Dans lequel nous venions d’entrer,
L’unique raison pour laquelle nous avions décide de nous revoir.
D’un coup de hanche je décide à le mener, de l’aimer aà mon tour, 
je le regarde profondément,  j’ai envie de  le monter, de m’enclencher, mon voyage
commence, je suis a cran. Nos corps font milles tours, mon sang fini par n’en faire qu’un.
Son râle signal de fin du bal Mais je ne peux pas vivre cet adultère sans être punie,
Je n’aurais pu partir sans  allongée sur ces genoux, fesses à l’air, recevoir ma fessé.
Etendue et soumise à ses mains, claquantes, frappantes, caressantes, sur mon fessier
brûlant, piquant, les doigts baladeurs.Je suis totalement abandonnée, excitée,
comme au premier instant.Et j’aime qu’il en profite. Je n’en peux plus, mais il me bloque
d’une jambe sur mon dos et je gémis, soupirs, jusque ma voix incontrôlée, coupée d’une claque brûlante.
Il couvre mes fesses de baiser et de caresse, je me jette dans ces bras.
S’en ai fini, tout recommence.

27 octobre 2006

Me voici à écrire un matin.Ce qui est sympa dans

Me voici à écrire un matin.
Ce qui est sympa dans les médicaments, c'est qu'ils n'enlèvent en rien les desirs et choix
que l'on fait de sa vie.
Mais ils rendent plus forte, plus sereine.
Avec mes petites pillules, je peux organiser et gérer ma determination sans trop rien laisser
paraitre.

Une phrase que je lis souvent et que j'aime bien est :
Soyons desinvolte - N'ayons l'air de rien.

Voila ce a quoi je pense.
The magic pillules, je vous aime.

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27 octobre 2006

(...)

Encore une journée de passe, juste une qui dure qui dure, impossible de dormir.
Si j'etais pas partie, peut etre aurait changé d'avis, peut être serait il revenu sur
sa discussion....Comment le savoir....
Aujourd'hui, il n'y a plus riein a faire, je sais qu'il se passe des choses dans sa vie,
je ne sais pas lesquelles mais je pense que j'ai plus rien à faire dans sa vie.
Dans mes rues, ils ont deja commencé à poser les lumières de noel... c'est affreux,
encore une saison que je n'ai pas venu seule depuis longtemps, l'epoque des fêtes,
je les deteste, ( comme tant de gens d'aileurs ).
Hier soir, j'ai repensé au jour de mon demenagement, le pintemps dernier
Hier soir j'ai decide que je programmerai mon dernier ce jour la.
Cela me laisse le temps de me preparer, tranquillement, de jeter toute ce que possede
encore, je laisserai un appartement vide de presque tout. J'ai de la chance d'avoir une
chouette cheminee en etat de marche.
J'ai tant d'heure de larme derrière moi, tant de regret, tristesse, tellement cru qu'un jour
ou l'autre les choses changeront. Ma boite est pleine.
l_absence_est_une_drogue_dure

25 octobre 2006

Il est 20h, je suis en train de repeindre mon

      Il est 20h, je suis en train de repeindre mon appart, enfin plutot ma tombe. l'endroit ou je vis depuis maintenant huit mois,  represente ma cage. une tombe, une cage, mon reclusoir. Je ne suis pas bien ce soir. Ce n'est pas facile d'être bien quand on est complètement ratée. Mon ex compagnon me manque, peu de gens le savent, je ne peux le dire à personne. C'est moi qui suis partie, c'est moi qui ai demanagé, mais je jure que j'ai bien ete racompagnee a la porte. Si j'ecris ce blog, c'est justement parsque je ne peux le dire a personne et que je ne frequente presque plus personne. je suis toute seule, je me suis coupee du monde en quelque sorte, soit par choix, soit a cause de leur choix. Chaque jours, je vis comme si c'etait le dernier, chaque jours je me dis que c'est le dernier. Mais ce n'est jamais le dernier. Et je n'ai pas le courage d'y mettre fin. j'y arrive pas. Je  souffre, je ne veux plus etre la, mais j'arrive pas a sauter le pas. je suis accrochée a ma vie, comme une sansue, j'aime pas ma vie, j'aime pas vivre, j'ai rien a faire la , mais je reste plantee comme une grue. En fait, je ne sais pas comment m'y prendre.  j'ai peur qu'on me retrouve et qu'on me force a vivre. je prefere encore rester betement la. Tous les matins, je me reveille et je vais bosser pour gagner le droit de souffrir au chaud. Tous les jours je veux plus de jour.

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